
Une histoire aux accents d’Orient
C’est en 1926 que le docteur Boyer, après avoir soigné le pacha de Marrakech, El Glaoui, décide de faire construire sa villa. En guise de remerciement, le pacha lui offre une dizaine d’ouvriers pour la décoration intérieure. C’est ainsi que la Villa Ker Magdalen – nommée en l’honneur de l’épouse du docteur, Madeleine – se pare de détails orientaux. À l’époque, elle abritait une chambre décorée de mosaïques, surnommée « La Chambre du Pacha », et un hammam au sous-sol.
Une architecture entre Orient et Occident
L’élégance de la villa ne se limite pas à son intérieur. Les extérieurs ont été conçus par l’architecte de renommée internationale Monsieur Laprade. Les jardins sont agrémentés de galets noirs et blancs de Tréguennec et de galets roses de Ploumanac’h, qui bordent la piscine et la fontaine. Plus tard, le professeur Boyer décide de rehausser la tour, offrant ainsi une vue imprenable sur la côte jusqu’à la pointe de Trévignon.